De plus en plus de villes françaises sont touchées par de fréquents pics de pollution. Le dépassement des seuils de pollution peut conduire les collectivités à imposer des périodes de restrictions pendant lesquelles la circulation des voitures pourra être limitée (circulation alternée, réduction de la vitesse, contrôle de pollution, etc.).
L’augmentation du nombre de pics de pollution doit nous conduire à changer nos habitudes de vie, notamment en misant sur des modes de transport moins polluant. En quelques années, de nombreux fabricants se sont imposés sur le marché en proposant des modes de transports électriques qui contribuent à diminuer la pollution de l’air dans les villes. Gyroroues, trottinettes électriques, draisiennes électriques ou encore vélos électriques se croisent ainsi de plus en plus dans les grandes villes de France.
Le gyropode, est un moyen de transport électrique personnel qui utilise une technologie de stabilisation pour permettre à l’utilisateur de se déplacer debout sur deux roues. Bien qu’il puisse être utilisé pour se déplacer sur de courtes distances, il n’est pas clair s’il peut être considéré comme une solution efficace contre les pics de pollution.
Des pics de pollution de plus en plus nombreux
Si les médias évoquent souvent les pics de pollution qui touchent la capitale, Paris n’est pas la seule ville a connaître une pollution de l’air de plus en plus importante. D’ailleurs, Paris est loin de se classer en tête des villes les plus polluées : Marseille, Lille, Lyon ou encore Grenoble sont également régulièrement touchées par des pics de pollution. Ainsi, toutes les grandes villes en France connaissent à un moment ou un autre un problème de pollution de l’air.
Plusieurs causes peuvent être à l’origine d’un pic de pollution de l’air, citons ainsi l’activité industrielle, les transports, l’agriculture, mais aussi l’activité résidentielle. On parle de pic de pollution lorsque le seuil d’alerte défini au niveau national est dépassé. C’est quand des polluants comme l’ozone, le dioxyde d’azote et les particules PM10 et PM2,5 se trouvent en trop grande quantité dans l’air que l’alerte doit être lancée.
Notez que plus de la moitié des oxydes d’azote viennent du trafic routier (54%). Le nombre de pics de pollution peut donc être réduit en limitant ce type de trafic et en incitant les citadins à utiliser des modes de transport qui n’émettent pas de polluants.
Réduire les pics de pollution grâce aux modes de transport électriques
La pollution de l’air est un véritable fléau pour notre santé et notre bien-être, c’est pourquoi il est plus que jamais essentiel de limiter la présence des particules fines dans les villes.
De nombreuses solutions s’offrent désormais aux citadins, elles sont parfaitement adaptées à nos modes de vie et représentent pour le futur, une alternative incontournable. Gyroroue, trottinette électrique, draisienne électrique, vélo électrique : à chaque préférence son mode de transport. Ces véhicules électriques comportent des batteries au lithium qui offrent une grande autonomie de déplacement et des cycles de charge de plus en plus en courts. Les fabricants de trottinettes électriques ou encore de gyroroues améliorent en effet constamment les performances de leurs engins, aussi bien en termes de confort que de vitesse, d’ergonomie, d’autonomie et de puissance. Tous ces modes de transport s’adaptent ainsi aux besoins des citadins et répondent de mieux en mieux aux contraintes de la ville.
De la gyroroue au vélo électrique en passant par la draisienne électrique, le mode de transport d’aujourd’hui et de demain tend à être ludique, écologique et sécurisé. C’est incontestablement une alternative de choix pour contribuer à réduire la pollution aux particules fines et ainsi faire de nos villes des lieux où il fait bon vivre.
À votre tour de contribuer à ce mouvement en choisissant sur la boutique en ligne de Gyro-Phare votre nouveau mode de transport électrique.
Plus une semaine ne passe sans qu’une grande ville française ne fasse état d’une alerte à la pollution de l’air. Même si les médias aiment mettre Paris en avant, la capitale est loin d’être la seule grande agglomération française victime de ce fléau. Selon des rapports officiels, elle n’est même pas en tête du triste classement des villes françaises les plus polluées. Aussi surprenant que ce soit, elle n’arrive en effet que seulement septième. On retrouve Marseille en 1ère position, suivi de Lille, Lyon, Nice, Grenoble, et l’agglomération de Lens-Douai.
On peut donc se rendre compte que ce problème de pollution de l’air n’est pas un problème qui concerne que Paris et sa région. Toutes les grandes villes, aux quatre coins de la France, présentent les stigmates de ce mal contemporain.
La question logique qui suit est : quelles sont les causes de cette pollution aux particules fines ?
On distingue quatre principales causes : l’activité industrielle, les transports, l’agriculture et l’activité résidentielle. En voici la répartition, en moyenne, sur tout le territoire français : 31% pour l’industrie manufacturière, 30 % pour le secteur résidentiel/tertiaire, 20 % pour l’agriculture et la sylviculture, et 15 % pour le transport routier (source : CITEPA). Comme précisé ci-dessus, ceci est une moyenne sur tout le territoire français. Ces chiffres varient beaucoup selon l’endroit où les relevés sont effectués. Dans une ville comme Paris, le transport routier est responsable de plus de 25% des émissions, loin devant les chantiers et carrières (20%), et devant l’agriculture (14%) selon airparif.
En voyant ces chiffres, cela devient compliqué de continuer à blâmer les uns et les autres, sans se sentir soi-même responsable, en partie. Il devient très important de se poser les bonnes questions et de changer nos vieilles habitudes, notamment en matière de transport.
Le but ici n’est pas de faire la morale à qui que ce soit, juste informer que d’autres solutions existent, des solutions plus en adéquation avec notre époque, et qui répondent à cette problématique de la pollution de l’air. Les transports électriques sont sans aucuns doutes possibles LA solution d’avenir.
Des transports comme le gyropode, le vélo électrique, la trottinette électrique, ou le surprenant onewheel que l’on voit se développer de plus en plus, représentent le futur (et même le présent) du transport quotidien. Tous ces nouveaux modes de transport ont la particularité d’avoir des batteries au lithium qui leur permettent d’atteindre une autonomie pouvant aller jusqu’à 45/50 kilomètres par cycle de charge de trois heures en moyenne. Et c’est là que réside le grand changement. L’excuse utilisée auparavant pour rester éloigné de ceux-ci, était que le cycle de charge était trop long, pour une autonomie trop courte. Grâce aux efforts de certains constructeurs, ce discours ne tient plus.
Un gyropode, par exemple, affiche une vitesse de pointe en moyenne de 16-18 km/h. Certaines trottinettes électriques atteignent sans problème les 30 km/h. Avec une telle autonomie, et la vitesse adaptée aux déplacements en ville, nul doutes que ces moyens de transports modernes et amusants à piloter devraient se développer rapidement. C’est en tout cas le pari fait par notre société GYRO-PHARE. Si vous souhaitez découvrir l’ensemble des produits proposés (gyropode, skateboard électrique, onewheel, trottinette électrique et vélo électrique) cliquez ici, ou rendez-vous directement sur gyro-phare.com
Et même si vous n’êtes pas convaincu par l’argument écologique, pensez avec votre porte-monnaie.
L’achat d’un gyropode coûte en moyenne 2 000 euros, bien loin du prix d’une voiture. Rajoutez à cela qu’un grand nombre de municipalités offrent des subventions pouvant aller jusqu’à 400 euros. Ces subventions concernent également les autres transports électriques et écologiques du type vélo électrique ou trottinette électrique. L’entretient requis est quasi-inexistant, plus besoin de payer d’essence, plus besoin de chercher des heures une place pour se garer et payer le prix du parking, plus besoin non plus de payer d’assurance. Les avantages et les économies qu’offrent ces transports écologiques sont très nombreux.
Il y en a un autre qu’il ne faut pas oublier : le plaisir. Piloter ces petites merveilles procure des sensations de liberté auxquelles nous ne sommes pas habitué en temps normal quand on parle de trajets quotidiens.
Bien-sûr, vous ne pourrez pas partir loin en vacances avec (du moins pas encore), et certains déplacements devront toujours être réalisés en voiture ou par un autre moyen de transport polluant. Mais pour ce qui est du quotidien, il est évident que nous devons penser avec des idées de notre temps, et non plus comme il y a 100 ans.
Fin 2022, la pollution est un sujet qui préoccupe toujours autant. De nombreuses trottinettes sont désormais très performantes avec des capacités d’autonomies et des vitesses maximales très impressionnantes. Certains constructeurs vont même jusqu’à communiquer des autonomies dépassant les 200km. En effet, des marques telles que Dualtron, Kaabo, Vsett, Nami et d’autres encore se développent à grande vitesse et produisent des trottinettes qui répondent aux attentes des utilisateurs pour un usage urbain où tout terrain.